Le cinéaste japonais revient après un silence de dix ans avec un nouveau long-métrage d’animation poétique techniquement virtuose mais hélas aussi thématiquement trop touffu et globalement confus.
Choc d’époque et vertige joycien, le premier roman de l’écrivain visionnaire est à redécouvrir. Faisant culbuter le religieux et le politique sur le lit de la morale, Je impressionne surtout par son inventivité formelle.