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Procès verbaux

D’une rentrée à l’autre, le règlement de comptes familial s’affirme en genre à part entière, sous couvert d’autofiction. Peut-on tout écrire?


19 septembre 2020 à 04:01

Littérature » Certains lavent leur linge sale en famille, d’autres en librairie. Justifiés par la littérature, les écrivains français sont nombreux à avancer masqués pour régler leurs comptes en confessions autobiographiques parfois vengeresses. Et l’autofiction, bien souvent, de se transformer alors en feuilleton judiciaire.

Après Yann Moix l’an passé, attaqué pour diffamation par son frère cadet, c’est...

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