18 septembre 2021 à 04:01
Matthieu Mégevand » En conclusion de sa trilogie, l’écrivain genevois interprète cette trop fameuse partition biographique avec une rare justesse de ton, sensible et nuancée.
A chacun son Mozart. Compositeur trop prodigieux pour ne pas infuser dans le légendaire, sa figure est à l’image d’une partition, ouverte à toutes les interprétations, à toutes les subjectivités, à...
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