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Le temps qui passe plonge les souvenirs dans le brouillard


3 mars 2018 à 05:00

Philippe Forest L La couverture de la Collection blanche décrit L’Oubli comme un «roman». Mais le narrateur lui-même convient, à la fin de son texte, que son roman n’en est pas un. En tout cas pas tout à fait. L’Oubli n’entre pas dans un cadre convenu. Il n’y a pas d’intrigue. Le temps est dilué, imprécis, comme...

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