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Le roman graphique, bandes à part

Quand la bande dessinée a de l’ambition, cela s’appelle un roman graphique. Plongée aux racines centenaires de ce genre qui défie les formats et les définitions


Thierry Raboud

Thierry Raboud

24 octobre 2018 à 18:01

Temps de lecture : 1 min

Quand la bande dessinée a de l’ambition, cela s’appelle un roman graphique. Plongée aux racines centenaires de ce genre qui défie les formats et les définitions.

Texte: Thierry Raboud, Images: DR, Réalisation: Jérémy Rico

«Une véritable explosion! Depuis quelques décennies, le roman graphique a connu un essor incroyable.» Patron de La Bulle à Fribourg, Pascal Siffert ne cesse de voir de nouveaux lecteurs franchir le seuil de sa librairie spécialisée, attirés par ce genre hybride qui colonise ses rayonnages et dope son chiffre d’affaires. Durant le mois d'octobre, c'était d’ailleurs un roman graphique, le quatrième volume de L’Arabe du futur signé Riad Sattouf, qui monopolisait la première place du classement français des ventes en librairie établi par le magazine spécialisé Livres Hebdo.

Il faut dire que cette niche éditoriale n’en est plus une depuis que les grands éditeurs l’ont investie jusqu’à en faire le cœur palpitant du neuvième art contemporain. Et les auteurs sont de plus en plus nombreux à en redessiner les contours, à l’image de Max Cabanes (lire critique ci-dessous), Olivier Cinna ou Alain Bardet qui présentent leurs parutions récentes du 2 au 4 novembre à Bédémania

 

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