Essais » Il est toujours édifiant de lire un poète penser son rapport aux mots, questionner l’acuité de ses propres visions. François Debluë est coutumier de pareils dévoilements introspectifs – on se souvient des versions successives d’un même poème qu’il offrait en 2012 à la belle revue Oblique, ouvrant ses carnets sans fausse pudeur,...
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