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Lectrices et lecteurs en Liberté

Lecteur en Liberté. Marc Wicht, La Tour-de-Trême

Marc Wicht pour le lecteur en Liberté Photo Lib/Charly Rappo, La Tour-de-Trême, 22.04.2022Charly Rappo/Charly Rappo / La Liberté

François Tardin

François Tardin

29 avril 2022 à 18:11

Temps de lecture : 1 min

Exister » Instituteur de formation, Marc, 65 ans, enchaîne avec deux licences en psychologie qui lui permettent d’accéder à différentes fonctions de cadre dans les écoles vaudoises, notamment dans l’enseignement spécialisé et la psychologie scolaire. Une carrière intense brutalement interrompue en 2015 à la suite d’un infarctus. Depuis, ce grand-papa se reconstruit doucement à travers le bénévolat pour, dit-il, «exister encore».

Vous perdez votre maman à cinq ans. Quel regard pose-t-on sur la vie quand on devine si tôt sa fragilité?

Je garde un souvenir assez précis du jour de son décès, en particulier du son des cloches mortuaires et de mon papa qui me dit: «c’est ta maman». Je sais qu’elle souffrait beaucoup de nous laisser seuls mon père et moi. Plus tard, ma grand-maman m’a rapporté son dernier mot avant de mourir qui a été: «pourquoi?» Ce pourquoi m’a poursuivi toute ma vie.

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