Logo

Chroniques sportives

Julien Sprunger. «Les fêtes, ce bol d’air dont il faut profiter»

Canada celebrates after Team Canada`s Kris Versteeg scored 3-0 during the final game between Team Canada and HC Ocelari Trinec at the 93th Spengler Cup ice hockey tournament in Davos, Switzerland, Tuesday, December 31, 2019. (KEYSTONE/Gian Ehrenzeller)GIAN EHRENZELLER/KEYSTONE

Kessey Dieu

Kessey Dieu

8 décembre 2022 à 17:56

Temps de lecture : 1 min

Parole d’expert

Hockey sur glace » «Dans les cantons catholiques, nous avons des jours fériés dont certains ne connaissent même pas l’existence. J’en parlais l’autre jour avec des membres de notre encadrement qui viennent de Suisse alémanique, ou des coéquipiers qui viennent d’ailleurs, en évoquant ce jeudi 8 décembre, jour d’Immaculée conception. Ce férié n’est pas noté comme tel dans notre programme et n’est pas un jour de congé. Il n’y a guère qu’à Noël que nous, les hockeyeurs, n’avons rien au programme. A Pâques par exemple, les play-off battent leur plein. Et le 2 janvier, nous jouons aussi.

Nous avons aussi un rôle de divertissement. Un match de hockey peut représenter une animation pour les personnes en congé. Pour ma part, je n’ai jamais joué entre Noël et Nouvel-An, sauf lorsque Fribourg-Gottéron participait à la Coupe Spengler. Au cœur du championnat, cette période de fin d’année est synonyme de grandes vacances et les étrangers – surtout les Finlandais ou les Suédois – profitent de ces quatre ou cinq jours de congé pour rentrer chez eux, dans leurs familles. Et pour nous, cela nous permet de vivre les fêtes plus sereinement. Nous n’avons pas le souci d’être prêt à jouer le 26 ou le 27.

Ce contenu provient de notre ancien site web. Il est possible que sa mise en page ne soit pas idéale. En savoir plus