Lettre à nos aînés
Les rouges-queues faisaient un brasier d’ailes dans les vignes en pleurs. Le ciel, enfin vidé des traces blanches qui le ligotaient, célébrait en piailleries symphoniques son infini retrouvé. Dans ce paysage immensément sonore, je marchais avant l’exil intérieur, creusant les sentiers d’un monde qui bientôt ne serait plus le mien. Et déjà je me sentais de trop,...
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