Logo

Louis Ruffieux

«Non, l’achat des Gripen n’est pas qu’un caprice de militaires»

«L’option de remplacer les 54 vieux Tiger (un avion développé au début des années 1970) par 22 Gripen se défend, si l’on admet que la protection et la défense de l’espace aérien constituent l’une des missions de l’armée» note Louis Ruffieux. © Alain Wicht/La Liberté

5 mai 2014 à 17:54

L’option de remplacer les 54 vieux Tiger (un avion développé au début des années 1970) par 22 Gripen se défend, si l’on admet que la protection et la défense de l’espace aérien constituent l’une des missions de l’armée. © Keystone
L’option de remplacer les 54 vieux Tiger (un avion développé au début des années 1970) par 22 Gripen se défend, si l’on admet que la protection et la défense de l’espace aérien constituent l’une des missions de l’armée. © Keystone

Ce contenu provient de notre ancien site web. Il est possible que sa mise en page ne soit pas idéale. En savoir plus

Editos

Pétards mouillés

Editorial • Pour son dernier éditorial, Louis Ruffieux commente le travail de l'UDC et souhaite «que le parti nationaliste devienne patriote, qu’il redonne la primauté à l’intérêt général du pays plutôt qu’à la conquête du pouvoir à tout prix.»