Opinion » Mauvaise pioche que de brancher le chauffeur de la voiture sur la prochaine élection présidentielle. La route descendant de Potosi (4000 m d’altitude) vers Sucre est sinueuse, l’homme s’emporte et, plus ennuyeux pour ses passagers, retire ses mains du volant pour tempêter contre le président Evo Morales… En Bolivie, quelques semaines avant le scrutin du 20 octobre...
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