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Alexis Monney. «Je veux d’abord reprendre confiance et voir ce qu’il se passe»

Après s’être révélé en Coupe du monde la saison dernière, le skieur de Fruence aborde les deux descentes de Zermatt/Cervinia et l’hiver qui arrive avec humilité.

A Zermatt, Alexis Monney (au centre) ne veut pas se mettre la pression: «L’idée est de bâtir sur l’ensemble de la saison et non pas sur ces deux courses.» © Keystone

10 novembre 2023 à 22:45

Temps de lecture : 1 min

Ski alpin » Après la pluie vient le beau temps… Depuis Zermatt où la neige ne cesse de tomber depuis 48 heures et où, après celui de la veille, l’entraînement de vendredi a encore une fois passé à la trappe (lire ci-dessous), Alexis Monney (23 ans) se raccroche à cette vérité proche de La Palice. Après la neige et le brouillard, le ciel bleu et le soleil reviendront-ils assez tôt ce week-end pour que les deux descentes de Zermatt/Cervinia puissent se dérouler? Le skieur de Fruence se pose la question et croise les doigts. Dans l’attente de savoir s’il pourra, oui ou non, inaugurer la piste de la Gran Becca, il prend le temps de faire le point sur la saison qui arrive et qui, après ses sept top 30 de l’hiver passé et ses 10e et 11e places sur les mythiques descentes de Wengen et Kitzbühel, doit être celle de la confirmation. Interview.

Tout d’abord, comment allez-vous?

Alexis Monney: Je vais très bien, merci. Ma préparation s’est parfaitement déroulée, je me sens en forme et prêt à attaquer la saison.

Votre dernière apparition en Coupe du monde a été marquée par une lourde chute dans la descente d’Aspen au début du mois de mars avec, à la clé, une déchirure partielle du ligament latéral interne du genou droit. Comment se porte votre articulation aujourd’hui?

Mon genou va bien. Je ne ressens aucune douleur, c’est désormais de l’histoire ancienne. Par chance, je n’ai pas eu besoin d’être opéré. Avec les médecins de l’équipe et mes entraîneurs, nous avons mis en place un programme de rééducation spécifique. J’ai commencé par deux semaines de repos total, puis j’ai effectué six semaines de réathlétisation avec du renforcement musculaire et de la stabilisation. Ensuite, j’ai pris un mois de vacances avant de repartir sur une préparation normale.

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