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Hockey sur glace

Tristan Scherwey. «Nous savons quelle voie suivre»

Cancre de la classe, freiné par le virus: Berne se reconstruit. Tristan Scherwey évoque quarantaine et avenir


27 janvier 2021 à 23:13

Temps de lecture : 1 min

National League » Berne a renoué avec la compétition, mardi à Lugano (défaite 2-0), après vingt jours sans le moindre match en raison d’une mise en quarantaine prononcée le 7 janvier qui a été deux fois prolongée. Il y avait trop de malades chez les Ours pour qu’ils puissent aligner le minimum de joueurs requis pour le déroulement d’une partie. Quelles conséquences pour la condition physique des joueurs? A l’heure d’affronter Gottéron ce jeudi soir, pour ce qui doit être la première des 32 rencontres de saison régulière à disputer par sa formation jusqu’au 5 avril (le dernier délai a été repoussé de deux semaines), Tristan Scherwey évoque la situation particulière du club de la capitale.

«Trois semaines sans jouer, c’est long», constate l’ailier fribourgeois du CP Berne qui avait été, le 22 novembre, le dernier des douze clubs de National League à «expérimenter» cette mise à l’écart. «Tout s’est accumulé. Nous avons vécu trois quarantaines en un mois et demi. Il y a plus joli comme situation.»

Immunité de trois mois

Tristan Scherwey a été infecté par le virus juste avant Noël. «Comme j’avais été malade, je n’étais pas concerné par la troisième quarantaine (dès le 7 janvier, ndlr). On parle d’une immunité de trois mois. J’ai donc pu continuer à aller à la patinoire.» Ils étaient huit autres joueurs dans ce cas (Praplan, Blum, Thiry, Heim, Sterchi, les trois Gerber), ainsi que le nouvel entraîneur Mario Kogler. «Des juniors nous ont accompagnés.» Conserver la condition et les sensations est essentiel afin de prévenir toute blessure, notamment en raison du programme démentiel à venir.

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