Logo

Hockey sur glace

«Nous savons enfin sur quel pied danser»

La décision d’autoriser à nouveau les manifestations de plus de 1000 personnes à partir du 1er octobre est plutôt bien accueillie par Raphaël Berger, directeur général de Fribourg-Gottéron.

Personelle Änderungen beim HC Freiburg-Gottéron. An einer Medienkonferenz stellt der Klub die neuen Köpfe in der Leitung vor. Bild: Raphaël Berger, Generaldirektor Gottéron. Foto: FN / Charles Ellena, Freiburg, 19.03.2015Charles Ellena

Adrien Schnarrenberger

Adrien Schnarrenberger

12 août 2020 à 21:58

Les clubs de football et de hockey sur glace, qui attendaient avec impatience l’annonce des nouvelles mesures du Conseil fédéral, sont fixés: les événements rassemblant plus de 1000 personnes seront autorisés, sous condition, à partir du 1er octobre. Le directeur général de Gottéron Raphaël Berger réagit.

Après des semaines et des mois d’incertitudes, vous devez être soulagé par l’annonce du Conseil fédéral, non?

Bien sûr. Il y avait la crainte de voir la limite des 1000 personnes être prolongée jusqu’à la fin de l’année, ou pire à jusqu’à la fin mars. Aujourd’hui, nous avons du concret, sur lequel nous pouvons baser notre réflexion. On sait enfin sur quel pied danser, même si la danse ne s’annonce pas simple.

Même s’il paraît acquis que le début de la saison sera reporté en octobre, il va falloir vite vous mettre au travail afin de présenter un concept de protection sanitaire fiable…

Vendredi, nous avons agendé une assemblée de la Ligue lors de laquelle nous allons déterminer un cadre. Le but est de fixer les mêmes règles du jeu pour tout le monde. Ensuite, ce sera à chaque club d’optimiser sa capacité d’accueil et d’aller «vendre» son concept aux autorités cantonales. Pour notre part, nous les rencontrerons la semaine prochaine déjà. 

Combien de spectateurs espérez-vous pouvoir accueillir dans la nouvelle patinoire Saint-Léonard?

Je suis content que le Conseil fédéral n’ait pas donné de chiffres absolus ou de pourcentage. Chaque patinoire a ses propres spécificités. A Fribourg, nous n’avons pas défini un nombre précis de spectateurs. Nous ne voulions pas travailler dans le vide pour imaginer des scénarios qui ne se réaliseraient pas. Avec une patinoire neuve, il sera plus aisé de gérer le flux des spectateurs. Il nous faut déterminer maintenant les conditions. On voit que les situations évoluent vite. Il y a six mois, personne n’aurait accepté de porter un masque dans la patinoire. Aujourd’hui, le masque fait partie de la vie et les gens sont prêts à le porter pour venir voir un match.

«Je pense qu’on pourrait s’en sortir avec environ 75% de remplissage»

Ce contenu provient de notre ancien site web. Il est possible que sa mise en page ne soit pas idéale. En savoir plus

Dans la même rubrique