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Hockey sur glace

Julien Sprunger et Andrei Bykov attendent leur tour

A respectivement 37 et 35 ans, les deux attaquants ne sont plus des joueurs de premier plan à Gottéron. Priorité absolue du club tout au long des deux décennies précédentes, ils font désormais la queue devant le bureau du directeur sportif.

Julien Sprunger sera encore un Dragon l'été prochain. Quid d'Andrei Bykov? © Jean-Baptiste Morel

8 décembre 2023 à 18:20

Temps de lecture : 1 min

Hockey sur glace » Ce n’est plus qu’une question de jours avant que Julien Sprunger et son club de toujours annoncent avoir trouvé un terrain d’entente pour prolonger d’une année leur histoire d’amour. Vendredi encore, le capitaine des Dragons se disait «plutôt confiant» quant à un dénouement positif des discussions entamées ces dernières semaines avec Gerd Zenhäusern, futur directeur sportif déjà seul en action sur certains dossiers. «Mais Christian continue d’avoir le dernier mot jusqu’au 1er mars», précise celui qui reste, pour trois mois encore, l’assistant de Christian Dubé. Sur le papier.

Qu’à cela ne tienne. Au technicien haut-valaisan, il reviendra tôt ou tard la tâche ingrate de siffler la fin de l’aventure de Julien Sprunger et Andrei Bykov, en quête lui aussi d’un contrat. Deux légendes du club que «Zeno» a coachées (2014-2016) et aux côtés desquelles il a patiné, dans une autre vie. Peu savent donc aussi bien que lui ce que l’inséparable duo, qui pèse 1893 matches et 1230 points sous le même et unique maillot, représente dans le canton, au sein du club et à l’intérieur du vestiaire.

La vie sans «DD»

Stop ou encore? C’est la question qui s’est posée – et qui se pose encore dans le cas d’Andrei Bykov. Chacun a son avis. Il suffit de laisser traîner l’oreille à la patinoire ou de se promener sur le forum du club pour s’en rendre compte. Là où certains insistent sur l’aura et la dimension «service rendus», soulignant que le marché est de toute manière trop pauvre pour remplacer avantageusement les mythiques numéros 86 et 89, d’autres estiment qu’il serait temps de laisser de l’espace aux Binias, Nicolet et compagnie.

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