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Hockey sur glace

Philippe Furrer. «J’aimerais vraiment rejouer avec Raphael Diaz»

Plus de peur que de mal pour Philippe Furrer, lequel pourra jouer ce soir et espère prolonger son contrat


2 mars 2021 à 02:01

Temps de lecture : 1 min

National League » Parti de Fribourg-Gottéron pour retourner au Tessin au printemps 2018, Lorenz Kienzle avait loupé de peu Philippe Furrer, arrivé à Saint-Léonard à la même période en sens inverse. Les deux défenseurs se sont cette fois bien croisés, et même d’un peu trop près, vendredi dans les montagnes grisonnes. Sonné par le bras du Davosien qui a heurté de manière fortuite le bas de son visage, le N° 5 des Dragons avait fini par se relever pour rejoindre péniblement et prématurément les vestiaires. «Sur le moment, j’étais furieux. Kienzle venait de me charger dans la bande alors qu’il restait une minute trente à jouer et que son équipe gagnait 5-2. J’ai voulu aller le checker à mon tour et il est arrivé ce qui est arrivé. C’était involontaire de sa part, mais j’ai quand même ramassé un sacré coup.»

S’il a pu revenir sur cet épisode qui a fait craindre le pire, cela signifie que Philippe Furrer se trouvait à la patinoire, et non dans une chambre noire, hier matin. Hormis le fait qu’il a laissé sa place à Benoît Jecker sur l’exercice du jeu de puissance, le Bernois de 35 ans a pu participer normalement à l’entraînement. Une bonne heure de glace au terme de laquelle il a donné des nouvelles rassurantes sur son état de santé: «Je me sens très bien. J’ai débranché tout le week-end et aucun symptôme n’est apparu.» Et de relever, confiant à l’idée de pouvoir tenir son rang ce soir à Lausanne: «C’est bon signe! Cela démontre que mon corps peut absorber ce genre de choc. Je suis soulagé d’avoir «réussi» ce test grandeur nature.»

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