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Hockey sur glace

A quoi sert l’argent des amendes?

Magnus Nygren est le dixième joueur à écoper d’une amende – de 2000 francs dans son cas – pour simulation cette saison. Les sanctions pour de tels faits sont nombreuses, mais bien des questions demeurent.

Davos' Magnus Nygren auf der Bank, beim Eishockey-Qualifikationsspiel der National League zwischen dem HC Davos und dem HC Ambri-Piotta, am Freitag, 4. Dezember 2020, im Eisstadion in Davos. (KEYSTONE/Gian Ehrenzeller)GIAN EHRENZELLER/KEYSTONE

Aurélie Yuste

Aurélie Yuste

18 janvier 2021 à 19:52

Temps de lecture : 1 min

Hockey sur glace » Le défenseur de Davos a été sanctionné pour une chute théâtrale après un contact à la bande avec Nathan Marchon lors du match entre Gottéron et Davos le 12 janvier dernier. Tristan Vauclair, qui avait été l’un des premiers à passer à la caisse depuis que la Fédération a accentué sa vigilance dans le domaine en automne 2017, donne son avis.

En novembre 2012, Romain Loeffel s’était vu infliger une amende de 500 francs pour simulation. Le défenseur neuchâtelois portait alors les couleurs fribourgeoises et les sanctions de ce genre étaient plutôt rares. En 2016/2017, les amendes étaient encore inférieures à mille francs. La Fédération suisse de hockey sur glace (SIHF) a la main plus lourde dans le domaine depuis quatre saisons. Le 20 octobre 2017, le montant des peines pécuniaires prononcées pour simulation s’articulaient pour la première fois en quatre chiffres: 2000 francs pour Linus Klasen (Lugano) et 1200 francs pour Tristan Vauclair (Gottéron).

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