Logo

Hockey sur glace

A Gottéron, ça parle (aussi) suédois

Sandro Schmid et Daniel Brodin ont la Suède, où le Lacois a terminé son cursus junior, en commun

HC Fribourg-Gottéron. Sandro Schmid (à gauche) et Daniel Brodin, deux "Suédois" chez les Dragons. Photo Lib/Corinne Aeberhard, Fribourg, 30.09.2021Corinne Aeberhard

4 octobre 2021 à 21:36

Temps de lecture : 1 min

Hockey sur glace » Ce mardi soir (18h05), la tante de Sandro Schmid sera parmi les spectateurs de la Tegera Arena, où Leksands IF reçoit le HC Fribourg-Gottéron pour le compte de la 5e journée de la Ligue des champions. «Tata» Schmid n’habite pas Leksand mais Malmö, deux villes que tout sépare, à commencer par quelque 7 heures de voiture, à peine moins en train. «La route est longue, mais c’est chouette que ma tante et mon oncle puissent venir me voir jouer. Il faut dire qu’avec le Covid, nous n’avons eu que peu d’occasions de nous retrouver», se réjouit Sandro Schmid (21 ans), à qui cette parenthèse suédoise ne manquera pas de rappeler de jolis souvenirs. N’a-t-il pas achevé son cursus junior dans les rangs des Malmö Redhawks pour lesquels il a patiné durant trois saisons?

Cette respiration scandinave, un autre attaquant des Dragons l’attendait avec impatience. Pour des raisons personnelles, dixit son entraîneur Christian Dubé, Daniel Brodin (31 ans) n’est pas du voyage. Mais pour très bien connaître «un ou deux joueurs» de Leksand, et Patrik Zackrisson en est un à surveiller comme le lait sur le feu, nul doute que le natif de Stockholm n’aura pas manqué de distiller quelques précieux conseils à ses coéquipiers.

Vrai ou d’adoption

Brodin et Schmid: deux «Vikings», vrai ou d’adoption, dans le même vestiaire. Associés sur le 3e but fribourgeois samedi contre Davos, les Numéros 34 et 73 sont d’autant plus proches qu’ils parlent la même langue, pour la plus grande surprise de Brodin à son arrivée, il y a deux ans. «Le suédois de Sandro est parfait. C’est assez impressionnant, même», assure ce dernier. «Quand il dit ça, il exagère, rigole Schmid. Parfois, je cherche des mots que je ne trouve pas, ou seulement en anglais. Mais il est vrai que lorsque nous sommes entre nous, nous discutons toujours en suédois. C’est quelque chose qui nous vient naturellement. Cela nous fait aussi plaisir.»

Ce contenu provient de notre ancien site web. Il est possible que sa mise en page ne soit pas idéale. En savoir plus

Dans la même rubrique