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Basketball

Paul Gravet. «Sur un match, nous pouvons rivaliser avec beaucoup d’équipes»


François Tardin

François Tardin

23 septembre 2022 à 20:04

Temps de lecture : 1 min

Basketball » Avec Natan Jurkovitz, Paul Gravet est le dernier «rescapé» de la folle campagne de Fribourg Olympic lors de la Ligue des Champions 2018/19. Quatre ans plus tard, à quelques heures du match déjà décisif contre les Allemands des Niners de Chemnitz en demi-finale des qualifications de la Ligue des Champions, l’ailier franco-suisse plonge dans ses souvenirs et partage son ambition pour le week-end à venir.

Après avoir connu les émotions de la Ligue des Champions en 2018, on rêve de les revivre chaque année, non?

Paul Gravet: Nous aimerions évidemment pouvoir y retourner. Tous les ans, nous avons essayé. Nous ne sommes pas passés loin, une, deux, trois fois… Donc nous avons envie d’y être, mais cela ne va pas être simple. Nous ne sommes pas dans les meilleures dispositions après une préparation émaillée par les blessures et un peu plus compliquée que certaines années. Mais nous savons que sur un match, nous pouvons rivaliser avec beaucoup d’équipes.

Pourquoi cette préparation n’a pas été idéale?

Il a fallu intégrer pas mal de nouveaux joueurs qui ne connaissent pas encore la philosophie de jeu du coach. Nous, les plus anciens, nous devons aussi trouver nos automatismes avec les nouveaux, qui ont des qualités différentes de ceux de l’année dernière. Tout le monde va devoir s’adapter. Nous savons que dans deux mois, nous allons bien jouer. Olympic est une équipe qui monte crescendo pour atteindre son rythme de croisière vers fin novembre, début décembre. Mais avec la Ligue des Champions, il va falloir être capable d’être performant dès aujourd’hui.

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