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L’Américaine Qadashah Hoppie s’affirme de plus en plus chez Elfic

Arrivée à Fribourg l’été dernier, Qadashah Hoppie occupe un rôle majeur sous le maillot d’Elfic. Elle veut le prouver encore une fois ce jeudi lors du 16e de finale aller de l’Eurocup contre Venise. Mais sa créativité ne se limite pas aux parquets. Depuis quelque temps, l’Américaine s’est mise à écrire, chanter et produire ses propres morceaux de musique.

Basketball, SB League féminine, Elfic vs Troistorrents. Qadashah HoppieJean-Baptiste Morel

13 décembre 2023 à 18:00

Temps de lecture : 1 min

Basketball » Qadashah Hoppie ne mesure qu’un mètre 70, mais, sur un parquet, elle ne passe pas inaperçue. Plus que ses cheveux rouges, c’est son temps de jeu – 40 minutes lors des derniers matches de Coupe d’Europe –, et le rôle qu’elle occupe à Fribourg qui font d’elle un élément incontournable d’Elfic, à qui elle apporte 18 points, 4 rebonds et 3 assists de moyenne sur la scène européenne, et encore un peu plus au niveau national.

Après une saison à Troistorrents, «Q» – son surnom – a franchi une étape supplémentaire dans sa jeune carrière en rejoignant les bords de la Sarine. «Fribourg est un club avec des standards élevés. J’apprécie de pouvoir jouer avec des filles d’un très bon niveau. Dans l’équipe, il y a plus de talents qu’à Troistorrents, où nous n’alignions que deux étrangères. Pour moi, qui suis une créatrice, c’est agréable», compare l’Américaine, qui a découvert la vie de joueuse professionnelle la saison dernière.

«Passer 9 mois loin de sa maison, de sa famille et de ses amis n’est pas évident, tout comme fêter Thanksgiving ou son anniversaire sans les siens (elle a eu 24 ans le 10 octobre, ndlr), mais je m’y habitue. J’ai la chance de pouvoir vivre du sport que j’aime et des membres de ma famille viennent régulièrement me rendre visite. Je me sens beaucoup plus à l’aise dans cette deuxième saison, même s’il reste la barrière de la langue…» détaille, en anglais évidemment, celle qui dit hésiter entre apprendre le français ou l’espagnol.

Soif d’apprendre

Il n’y a pas que les langues que la New-Yorkaise veut apprendre. Plus qu’à sa carrière – «Jouer l’Eurocup était un de mes rêves, mais si je peux rejoindre un jour une équipe d’Euroligue, je ne dirai pas non» – Qadashah Hoppie pense déjà à son… après-carrière. «Dans cette optique, le plus important pour moi est d’apprendre de chaque expérience, parce que mon but est de devenir coach d’une équipe universitaire», avoue celle qui s’est déjà essayée au coaching lors de camps ou de matches d’exhibition.

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