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A Olympic, Killian Martin ne va «pas faire le beau»

Arrivé au Fribourg Olympic cet été, Killian Martin, 25 ans, sait ce que ses aînés peuvent lui apporter

Killian Martin a vécu à Antalya sa première campagne en Coupe d’Europe. © Basketball Champions League

28 septembre 2023 à 14:40

Temps de lecture : 1 min

Basketball » Il était 3 h, mercredi matin, lorsque Fribourg Olympic, battu la veille par le Legia Varsovie, a quitté son cocon d’Antalya pour rejoindre la Suisse, où il sera cantonné jusqu’en mai, juin si affinités. Adieu l’Europe! Championnat, Coupe de Suisse et SBL Cup, autant de titres que les Fribourgeois doivent désormais chercher à défendre ou à récupérer, la Supercoupe, agendée le 7 octobre prochain à la salle Saint-Léonard, la première.

Il était 6 h 28, mercredi matin encore, lorsque le Boeing 737 de la compagnie SunExpress s’est envolé dans le ciel turc, la Ligue des champions avec lui. Mais il était 23 h 30, mardi soir, quand Killian Martin, 25 ans, a pris place dans le lobby de l’hôtel, le ventre plein et le cœur lourd de regrets. «La déception est là. Généralement, elle dure deux jours et on tourne la page», soupire l’ancien capitaine genevois d’Union Neuchâtel, venu cet été sur les bords de la Sarine pour «passer un cap.» Découvrir les exigences d’une compétition continentale aussi.

C’était votre première campagne de Coupe d’Europe. Quel bilan dressez-vous?

Killian Martin: La Coupe d’Europe était une des raisons pour laquelle je suis venu à Fribourg. Malheureusement, elle ne s’est pas terminée comme on l’espérait mais, en termes d’expérience, il y a toujours quelque chose à retirer de ce genre d’événements.

Voyager avec un club, est-ce différent que de le faire avec l’équipe de Suisse, où vous êtes régulièrement appelé depuis 2019?

Entraînement, shooting, snack: ça va, je ne suis pas trop dépaysé, car c’est un mode de vie que je connais déjà. Mais, en club, comment dire… Le lien est plus fort qu’en équipe nationale, où les rassemblements ne dépassent pas deux semaines. Le club, en revanche, c’est ta famille pour dix mois, et rien ne vaut les déplacements pour souder un collectif.

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