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Lumière sur la photobiomodulation

Le monde du sport s’intéresse aux bienfaits de la lumière, tant pour la récupération que pour la prévention

La photobiomodulation (ondes lumineuses), une technologie employŽe pour la rŽcupŽration sportive. Voici Killian Mottet et le physiothŽrapeute Fabian Tschumi. Photo Lib/Alain Wicht, Fribourg le 03.03.2021Alain Wicht/Alain Wicht/La LibertŽ

11 mars 2021 à 02:01

Technologie » Il est 14 heures lorsque le topscorer de Fribourg-Gottéron Killian Mottet arrive au centre de santé ITS, situé en ville de Fribourg. Le hockeyeur y a été convoqué par son physiothérapeute, Fabian Tschumi, pour une séance de photobiomodulation. L’objectif? Traiter sa cuisse endolorie à la suite d’un choc encaissé la veille, à l’occasion du succès de son équipe (4-5) face au Lausanne HC le 2 mars dernier. Le N° 71 des Dragons n’en est pas à son «coup» d’essai. Des «béquilles», il en a subi d’innombrables dans sa carrière. Certainement autant qu’il a dû en infliger…

Si le gaillard est solide et sera aligné dès la prochaine rencontre des siens, l’atteinte nécessite tout de même un traitement. «Le but est d’intervenir le plus vite possible pour éviter que ça ne s’aggrave», explique Fabian Tschumi, cofondateur du centre ITS. Pour cela, le thérapeute va dans un premier temps s’en remettre à l’ATP38, un appareil développé par l’entreprise Swiss Bio Inov, installée à Moudon, qui exploite la photobiomodulation (lire aussi ci-dessous).

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