Jouer, perdre et tout casser

Numérique • Cette manie est bien connue des mauvais perdants: gueuler un coup et quitter la partie sous la colère. Dans le monde du jeu vidéo, le «ragequit» a très mauvaise réputation.

Le matériel a toujours été la première victime du «ragequit».

29 mars 2016 à 13:53

Le constat est alarmant. Le nombre de claviers finissant fracassés contre un écran d’ordinateur connaît une hausse significative. Une statistique qui est intimement liée au jeu vidéo. Et elle ne va pas sans rappeler la période sombre qu’ont connue en 1995 les Monopoly. Souvenez-vous; des plateaux de jeu malmenés finissaient retournés et piétinés au sol par des mauvais perdants colériques...

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