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Ecoute et empathie

L’ambulancier a une certaine autonomie 
car il peut ­pratiquer une large palette de gestes 
et donner ­certains ­médicaments.

29 août 2017 à 07:00

Parle-moi de ton taf! » Lionel Chappuis, 27 ans, ambulancier diplômé depuis deux ans, travaille au Service d’ambulance de la Sarine (SAS). Il raconte son quotidien.

«On peut croire que l’ambulancier évolue dans l’immédiateté mais finalement, les urgences vitales ne représentent qu’un petit pourcentage. Durant un horaire de douze heures, on attend deux catégories d’appels, pour les interventions et pour les...

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