A travers le Kavir-e-Lut, du sable plein les yeux
Le terrible désert iranien met le corps et l’esprit du cycliste à rude épreuve.
Partager
17 février 2012 à 04:40
Pour mon dernier mois à travers l’Iran, je traverse le désert qui m’emmène aux portes de l’Asie centrale. La neige et le froid m’accueillent sur les dernières cimes qui me séparent encore du grand désert iranien. Puis, dans la descente, l’air se réchauffe et se réchauffe encore: voilà le Kavir-e-Lut, l’un des lieux les plus chauds du globe, pouvant afficher...
Ce contenu provient de notre ancien site web. Il est possible que sa mise en page ne soit pas idéale. En savoir plus