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Le «body hacking» défie la mort

Technologie • Ces tenants du transhumanisme développent des implants qu’ils testent ensuite sur eux. Leurs objectifs avoués: faire disparaître les maladies et ne plus mourir.


27 novembre 2015 à 17:34

«Dire que nous voulons vivre éternellement est un peu sensationnaliste, mais je pense que cela résume bien notre message.» Ryan O’Shea travaille pour une chaîne de télévision à Pittsburgh (Etats-Unis) et est consultant pour Grindhouse Wetware. Il s’agit de la première entreprise de «pirates du corps humain» («body hackers» en anglais) au monde. Ces apôtres du «do it yourself» (fais-le...

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