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Alain Wicht, 40 ans d'images à «La Liberté»

Des idées 
par 
milliers

Alain Wicht a eu devant son objectif des milliers d’anonymes ou de personnalités. Quelques-uns de ces «sujets» se souviennent et dévoilent, forcément, quelques traits de sa personnalité

Le directeur Jean-Claude Kolly, quitte La Gérinia après 35 ans. Photo Lib/Alain Wicht, Fribourg, le 11.12.2017Alain Wicht/Alain Wicht/La Liberté

Jérémy Rico

Jérémy Rico

26 avril 2023 à 13:28

Rencontres » La première visite du pape Jean-Paul II en Suisse, du 12 au 17 juin 1984, commençait à Fribourg. La Liberté a consacré des dizaines de pages spéciales dans plusieurs éditions consécutives à ce séjour marathon et aux différentes rencontres ou homélies du souverain pontife. Alain Wicht, le nouveau photographe du quotidien, et Jean-Louis Bourqui, qui approchait de la retraite, ont immortalisé l’événement. Pour Jean-Paul II, qui avait son photographe privé, Alain Wicht n’en était qu’un parmi d’autres. Pareil pour la star du football Diego Maradona, de passage dans la boîte de nuit tendance du moment à Fribourg un soir de mai 1988.

Ces célébrités à la renommée planétaire ne sont plus là pour témoigner de leur face à face avec Alain Wicht. Elles auraient d’ailleurs été bien incapables de le faire. Par contre, il y a bien des acteurs de la vie politique, sportive ou culturelle que le photographe de La Liberté, comme certains le nomment, a croisés de façon répétitive, laissant habituellement son propre souvenir à chacun. Des souvenirs qu’ils partagent volontiers. Comme pourraient le faire dans un monde imaginaire le Rababou, l’âne Balou, le pont de la Poya, la cathédrale, le Papiliorama de Chiètres, les arènes d’Avenches, les gorges de la Jogne ou tout autre symbole de notre région.

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