18 juin 2012 à 06:40
Guin, samedi matin. Deux milans noirs tournent dans un ciel de début du monde. L’homme est debout devant la table qu’il a débarrassée de toutes les poussières qui pourraient le déconcentrer. Il assouplit ses doigts, concentré comme un pianiste de concert préparant l’attaque du cinquième concerto de Beethoven.
Le jeune forestier-bûcheron doit démonter le plateau de sa tronçonneuse, changer la chaîne...
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