Viol imaginaire. sa cliente ment, l’avocate trinque
Une plaignante avait faussement dénoncé un viol imaginaire. Son avocate devra se débrouiller pour se faire payer ses frais et honoraires
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3 janvier 2023 à 02:01
Tribunal fédéral » Un vieil adage de plaideurs dit que le pire ennemi de l’avocat, c’est son client. Le Tribunal fédéral vient de le confirmer, dans un arrêt où il refuse l’assistance judiciaire gratuite à une plaignante qui avait faussement dénoncé un viol imaginaire. Du coup, c’est l’avocate de la calomniatrice qui devra se débrouiller pour se faire...
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