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Conseil d'Etat

Romain Collaud. «La formation doit être prioritaire»

Le Glânois Romain Collaud espère décrocher l’un des deux sièges PLR actuels au Conseil d’Etat

Le Glânois Romain Collaud fait campagne sur un ticket commun avec le sortant Didier Castella.

14 octobre 2021 à 04:01

Temps de lecture : 1 min

Elections » Député depuis 2014, Romain Collaud est devenu cinq ans plus tard le chef du groupe PLR au Grand Conseil. A 37 ans, cet expert en finances et investissements brigue un fauteuil au gouvernement.

Au Grand Conseil, vous vous êtes rapidement imposé en devenant chef de groupe. Qu’est-ce qui vous anime?

Romain Collaud: Beaucoup de choses. Dès que j’ai su lire, enfant, j’ai lu les journaux. Cela a développé mon goût pour l’information en général. Mon papa a également été député de 1996 à 2006: l’héritage politique familial m’a poussé à me mettre dans le bain. En arrivant au Grand Conseil, je connaissais les rouages.

Comme chef de groupe, vous ne mâchez pas vos mots. Vous voulez secouer le Conseil d’Etat de l’intérieur?

Non. Il faut séparer les rôles. Celui d’un chef de groupe consiste à remettre en cause les décisions du Conseil d’Etat. La critique fait partie du rôle de parlementaire. Si on disait «oui, amen» à toutes les propositions du Conseil d’Etat, le Grand Conseil ne serait qu’une caisse enregistreuse.

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