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Canton

Baignades, bruit et loisirs. la faune des rivières fribourgeoises souffre en été

L’impact de l’homme sur le biotope des cours d’eau s’intensifie en été

Coronavirus. Déconfinement progressif. Certains Fribourgeois se disent inquiets de la reprise des activités. Reportage sur les rives de la Sarine, à Hauterive, où malgré l'affluence, les consignes de sécurité sont respectées. Photo Lib / Charly Rappo, Hauterive, 09.05.2020Charly Rappo

François Tardin

François Tardin

7 juin 2023 à 22:59

Temps de lecture : 1 min

Biodiversité » Soirées grillades, bains de midi ou matinées marche, les journées estivales sont propices aux activités en extérieur. Et surtout en bord d’eau, fortes chaleurs obligent. Mais cette marée de visiteurs risque-t-elle pour autant de submerger les paysages fluviaux et lacustres de nos horizons fribourgeois?

Selon l’Union fribourgeoise du tourisme (UFT), cet attrait pour la baignade en milieu sauvage est un phénomène fort dans la région, en particulier auprès des locaux. «Cela s’est renforcé durant le Covid, car les touristes ont sollicité notre région encore plus que d’habitude», précise Christophe Renevey, directeur adjoint de l’UFT. A tel point que la région de Morat, par exemple, a dépassé les chiffres de l’expo 02 en matière d’affluence, d’après le codirecteur. «Notre région touristique a pris de l’ampleur, ce qui a créé des nuisances dans certains milieux naturels par la suite. C’est en quelque sorte le contre-pied de ce mouvement.»

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