Jusqu’au 31 décembre, La Liberté vous offre la possibilité d’écrire une carte de vœux publique qui sera diffusée sur ses supports numériques ou dans son édition papier jusqu’au 7 janvier. Quatrième carte, celle de l’entraîneur et directeur technique de Gottéron Christian Dubé
Partager
30 décembre 2022 à 00:15
J’ai des choses à te dire, au risque de paraître un peu vieux jeu. Je vais être assez dur avec toi car je déplore qu’en 2022, ton monde ne jure plus que par le paraître. A tel point qu’il m’arrive d’avoir peur pour le futur de mes enfants, de leurs enfants et des enfants de leurs enfants.
Vivre dans une société où l’on préfère afficher bêtement son bonheur plutôt que d’en donner simplement à sa famille, ses amis et à des gens dans le besoin me sidère. Mon message est simple: arrêtons le superflu et revenons à l’essentiel. Quittons, pour un instant au moins, les réseaux sociaux (c’est fait depuis longtemps de mon côté) et notre téléphone, pour être à l’écoute des pauvres, des personnes tristes et seules ou en proie à des problèmes d’addiction.
Ce contenu provient de notre ancien site web. Il est possible que sa mise en page ne soit pas idéale. En savoir plus
Jusqu’au 7 janvier, La Liberté diffuse sur ses supports numériques ou dans son édition papier les cartes de vœux qui lui ont été envoyées par ses lecteurs. Dans celle qui suit, Lise-Marie Graden, préfète de la Sarine, adresse ses meilleures voeux à ses enfants.
Jusqu’au 7 janvier, La Liberté diffuse sur ses supports numériques ou dans son édition papier les cartes de vœux qui lui ont été envoyées par ses lecteurs. Dans celle qui suit, le lecteur Antoine Rossier a choisi d’adresser ses voeux à un inconnu, un homme vulnérable et cabossé, un sans-abri croisé dans la rue.
Jusqu’au 7 janvier, La Liberté diffuse sur ses supports numériques ou dans son édition papier les cartes de vœux qui lui ont été envoyées par ses lecteurs. Dans celle qui suit, l’athlète Coralie Ambrosini adresse ses meilleurs voeux à son entraîneur Gérald Rumo.
