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Editos

Le milliard facile, c’est fini!


28 janvier 2012 à 04:50

D’un côté, un établissement bancaire privé dont les salons capitonnés et luxueux n’accueillent que des millionnaires désireux de faire fructifier leur blé. De l’autre, une banque aux origines rurales où une clientèle populaire contracte des crédits hypothécaires à prix plancher. Deux cultures que la pression du fisc américain a poussées l’une vers l’autre.

Pour Wegelin, il y avait péril en la...

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