12 novembre 2011 à 05:10
Il n’a pas de visage, mais le bras long. Il se décline au singulier et au pluriel, peu importe: il a toujours raison, y compris dans sa versatilité. Les chefs d’Etat rampent à ses pieds, soucieux d’un clin d’œil approbateur ou d’un froncement de sourcil ombrageux. Les prétendus «puissants» s’inclinent devant sa suprématie quasi divine. Plus fort que la démocratie,...
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