17 avril 2013 à 06:10
Le réveil, évidemment, est brutal. Depuis lundi, les Américains voient repasser devant leurs yeux les images en boucle de leurs pires cauchemars. «Il y a 12 ans, en septembre, nous avons perdu notre innocence. Depuis lundi, nous savons que nous ne pourrons plus nous sentir à nouveau totalement en sécurité dans cette ville», écrivait hier l’éditorialiste du «Boston Globe».
C’est là...
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