7 janvier 2012 à 04:41
«Je n’avais rien d’autre en tête que l’intérêt du pays.» C’est ainsi que Christoph Blocher justifie son attitude dans l’affaire Hildebrand. Les faits jettent cependant une ombre sur le plastron du chevalier blanc. Qu’il ait informé Micheline Calmy-Rey des soupçons de délit d’initié pesant sur Philipp Hildebrand, rien de plus normal. Le Conseil fédéral est en effet un des organes...
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