9 novembre 2011 à 09:29
Même le téflon finit par se rayer... Celui qu’aucune souillure, aucun scandale, aucune trahison, aucun procès ne semblait pouvoir érafler, a finalement dû plier. Tel un gros reptile, le «Biscione» (un de ses multiples surnoms) a durant des années serpenté entre les trappes politiques et les guillotines de la justice. Réputé indéboulonnable de l’intérieur, c’est donc de l’extérieur qu’est venu...
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