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Editos

Faute de goût et faute politique


6 janvier 2012 à 04:40

«Je peux me regarder en face dans la glace.» Philipp Hildebrand a la conscience tranquille, il ne démissionnera donc pas. A raison: les achats de devises que lui et sa femme ont effectués ne contreviennent pas au règlement interne de la Banque nationale suisse. A sa lettre, du moins. A son esprit, c’est moins sûr. Que le gardien de la...

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