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Editos

Des traces indélébiles


2 juillet 2011 à 07:07

Prière de nuancer le scénario! La Cendrillon du Sofitel de New-York aurait menti dans sa demande d’asile et entretiendrait de drôles de relations – ce qui n’en fait pas encore une Cruella. Quant au «pervers» du FMI, pour reprendre un titre de la presse américaine, il reste inculpé et n’endosse donc pas (encore?) la tunique d’un capitaine Dreyfus...

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