26 mars 2018 à 04:01
Éditorial
Didier Castella n’aura pas besoin de quitter sa Gruyère pour s’exiler à Sainte-Hélène ou aux Samoa. C’est la punition qu’il aurait méritée s’il avait échoué hier lors du second tour de la complémentaire au Conseil d’Etat. Une élection impossible à perdre pour lui en théorie compte tenu du poids des partis bourgeois dans le canton (70% de l’électorat). Sans surprise...
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