24 juillet 2015 à 19:42
Dans l’édition du 17 juillet de «La Liberté», M. François Mauron évoque «Le danger des porte-silence». Il conclut: «Les correspondants en matière d’information publique ont parfois tendance à devenir les paravents derrière lesquels se cachent les autorités, rabâchant un discours convenu et lisse qui glisse alors vers la langue de bois.»
En parcourant le compte rendu du Conseil général dans le «Bulletin d’information...
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