27 novembre 2015 à 14:37
Meurtrie dans sa chair et dans son for intérieur, elle a peut-être maintes fois hurlé «au secours» ou juste «maman» au milieu de la nuit comme le font tous les enfants terrorisés, mais personne n’a jamais répondu à ses appels désespérés… Passées l’abjection et la douleur que j’ai éprouvées à la lecture de ce compte rendu qui relate des faits...
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