21 juillet 2015 à 16:57
Vivre mieux et plus longtemps. Ne pas devoir discriminer ceux que la nature a défavorisés: ces cas rares, polymorbides, chroniques, ceux qui sont subitement atteints d’une de ces maladies potentiellement mortelles, cardiovasculaires ou cancéreuses. Ils les appelleraient «les mauvais risques».
Une augmentation des primes-maladie se prépare («La Liberté» du 18 juillet dernier). On montre du doigt ces mal-aimés, les médecins. Ils ne...
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