Jérémie Fonjallaz
3 février 2017 à 09:22
Éditorial
Les moteurs grondent, les bagnoles fument, et c’est d’impatience: notre tour est venu, revendiquent les automobilistes bloqués toujours plus souvent, toujours plus longtemps, dans les bouchons. C’est notre tour, tonnent-ils, de toucher les milliards nécessaires à faire avancer à la fois notre cause et notre véhicule, que ce soit sur l’autoroute ou à la sortie des villes.
Soucieuse d’éviter une guerre...
Ce contenu provient de notre ancien site web. Il est possible que sa mise en page ne soit pas idéale. En savoir plus