8 février 2016 à 20:10
A «La Liberté», journalistes et correcteurs se croisent rarement. En fait, carrément jamais. Horaires décalés, bureaux géographiquement éloignés. Nouvelle dans la maison, je me dis qu’il serait de bon ton d’aller rendre visite à ceux qui rattrapent nos coquilles et effacent nos scories. D’autant plus que je connais l’un d’entre eux. Je descends donc d’un étage en empruntant un escalier...
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