14 avril 2022 à 04:01
Quitter la liberté, ça sonne triste. Peut-être parce que l’on y entend l’abandon d’un des fondements de nos sociétés. Ou alors, peut-être parce que cet acte d’abandon implique un refus de continuer à combattre les déterminismes qui nous écrasent. Quitter la liberté reviendrait à accepter de s’enfoncer dans un sombre fatalisme. Vous renonceriez à la liberté vous? Vous approuveriez l’idée...
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