1 juin 2016 à 15:47
On connaît la litanie des transports publics: ah, ces malotrus qui restent agglutinés près des portes; oh, ces idiots qui restent immobiles au milieu des escaliers roulants; quelle plaie, ces égoïstes qui s’étalent sur deux voire trois sièges (et qui tirent la gueule quand on leur demande par pure rhétorique si «c’est libre»): tout cela est vrai et, surtout, très...
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