18 janvier 2020 à 02:01
Depuis près de quatre ans, je vis au rythme du clocher de l’Hôtel cantonal. Le timbre profond de son horloge résonne tous les quarts d’heure dans mon appartement, rebondissant contre les murs, me réveillant quand je m’assoupis, sonnant comme le tocsin annonciateur d’une catastrophe. Je ne vois en plus aucune légitimité à ce tintamarre: ce n’est pas une Eglise et...
Ce contenu provient de notre ancien site web. Il est possible que sa mise en page ne soit pas idéale. En savoir plus
