3 juillet 2015 à 12:56
L’été, j’aime à me glisser dans l’onde charmante des piscines municipales. Mais l’autre soir, alors que je nageais dans une mer de corps plutôt que dans un océan de félicité, je me suis fait cette réflexion: heureux les Laure et Florent Manaudou, eux qui dans leurs pataugeoires olympiques n’ont jamais souffert du syndrome de «Elles-m’énervent-celles-là-à-nager-par-deux-à-la-vitesse-de-tortues-de-terre-Non-mais-ça-va-pas-de-me-donner-des-coups-de-pieds-si-on-ne-sait-pas-nager-le-crawl-on-ne-le-nage-pas-Monsieur». Bref, le syndrome de «le-bassin-fait-de-moi-une-pôvre-fille-comme-l’automobile-fait-de-l’homme…...
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