22 avril 2016 à 22:23
J’aime parler du temps qu’il fait. J’aime ces petits bouts de phrases insignifiants, pleins de printemps et de courtoisie. Des banalités au parfum de muguet qui vous dérident un voisin de bus et enjambent les fossés de génération. On n’est jamais content, souvent chagrin et toujours pressé. On attend la neige ou le beau temps, la pluie quand c’est trop...
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